PIANO SOLO

 

« Si l’oreille des visiteurs était tendue en direction du piano, leurs yeux, eux, étaient rivés sur les œuvres pour en vivre le commentaire musical du pianiste. L’ensemble du tableau, les détails et les expressions des personnages peints, étaient mis en valeur par l’improvisation musicale. Des accords graves, des sons ténébreux ou des notes légères, la musique a fait parler les personnages des sept toiles de Laurent Pécheux, choisies par Jean-Baptiste Aubert pour cette visite originale. »

 Le Progrès, septembre 2012

 

 

« L'artiste transpose musicalement ces oeuvres picturales, donnant ainsi à "entendre" le visible. Sa sensibilité esthétique transforme un regard éperdu de fascination pour la grandeur artistique d'un pays en une composition originale. Enrichi d'une mélodie au piano, le tableau véhicule un lyrisme symbolique ou pathétique ; grâce à l'image, la phrase musicale s'incarne sous les traits d'un personnage ou les lignes d'un paysage. Bel exemple d'enrichissement mutuel et de dialogue entre les arts. »

DNA, 3 juillet 2011

 

 

TRIO

 

« Encore une bien belle soirée consacrée au jazz vendredi soir au caveau des remparts à Delle. Le JBA Trio a fait sensation auprès de l'assistance. Ce trio délivre un jazz favorisant la mélodie. [...] En somme, un bon jazz à écouter. »

Le Pays, 20 novembre 2011

 

 

« Voici un nouveau CD de piano-basse-batterie. Ici, l'équilibre est bien tenu entre les trois protagonistes, chacun restant à sa place sans envahir celle des autres. Il est vrai qu'on est dans une musique minimaliste, à l'ambiance élégante et tendre, sans recherche de gags sonores ou de nouveautés à tout prix. Un bon bassiste, un bon batteur, un bon pianiste. Gérald Muller, Raphael Sonntag et Jean Baptiste Aubert jouent en bonne fraternité, sans en rajouter.[…] c'est fait avec sincérité et sans complaisance. C'est assez pour qu'on salue. »  Michel Bedin

Jazz Hot, décembre 2010

 

 

« La formation strasbourgeoise a présenté au public plusieurs morceaux de son nouveau CD qui a pour titre Diaphanie – un néologisme à partir du mot diaphane. La musique donnée par le groupe est limpide, elle est également pleine de rondeurs. Son style évoque la sensibilité, la rêverie, et incite à la sérénité. »

Le Pays, 30 décembre 2010

 

 

« Diaphanie, le nouvel album du strasbourgeois Jean-Baptiste Aubert est un néologisme évoquant le contraste entre les sons, les ambiances, la transparence aussi. [...] Des sons épurés, sans fioritures, enregistrés tout en passion et délicatesse en avril 2010. »

Zut magazine, n°7, automne 2010

 

 

« L’équilibre mis en place par les musiciens demeure stable et serein. On va de vagues mélancoliques à des morceaux plus rythmés et dynamiques. Tout coule tranquillement dans l’ambiance intimiste du caveau. »  

DNA, 18 septembre 2010

 

 

« Un concert de jazz « pur », une musique inventive et expressive toujours à mi-chemin entre l’interprétation de l’œuvre des grands revisitée, et la diversité de l’inspiration des groupes. »

La Provence, 10 août 2007

 

 

« Le classique ensemble batterie/contrebasse emmenée par le pianiste-compositeur s’est livrée sans façon à une réjouissante performance […]. Le trio surprend par son côté funambule, à la limite de la rupture, pour le plaisir de poursuivre une phrase mélodique jusqu’à son extinction avant de retomber sur ses notes. Les Strasbourgeois sont sur la lancée de leurs pistes improvisées avec l’idée de rattraper au vol quelques purs moments de félicité jazz. »

L’Alsace, 28 octobre 2006

 

 

« La musique du trio est avant tout authentique, sans détours, et entend bien rester une musique qui s’invente et qui s’élabore à trois. Les compositions du pianiste permettent aux musiciens d’explorer des univers sonores sensiblement différents qui laissent toujours la place à l’imprévu. »

Le Pays, 7 juin 2006

 

 

«  C’est une esquisse, à pas comptés, d’un travail rythmé par les influences de Jarrett, Evans et Pieranunzi. Autour du pianiste et compositeur Jean-Baptiste Aubert, le bassiste Cédric Hemmerlé et Raphaël Sonntag à la batterie suivent ses inspirations sinueuses et changeantes évoquant une balade sur des hauteurs brumeuses, imprégnées d’une sourde mélancolie. Le dépouillement mélodique accompagné de la cohésion tendue du trio ne l’empêche pourtant pas de partir à l’aventure au coin de quelques improvisations expressives.»

L’Alsace, septembre 2005

 

 

« Le piano de Jean-Baptiste Aubert improvise avec fluidité, sur un motif mélancolique. Les trois Strasbourgeois jouent un jazz classique, qui privilégie la musicalité, autour de thèmes sobrement accrocheurs, avec des parties improvisées bien structurées. On entend aussi quelques standards, dont le délicieux Passion Dance de Mc Coy Tyner, énergique et libre dans sa forme, qui démontre le niveau de virtuosité des musiciens.[…] Le trio confirme le talent des musiciens strasbourgeois. »

DNA, 13 mai 2005