Onze ans (roman) - 2017
Ce premier roman, publié aux Éditions Christophe Lucquin, est disponible en librairie
depuis janvier 2017 (2me tirage en juin 2017).
Le roman est lauréat du 31e Festival du premier roman de Chambéry (mai 2018)
et du Prix des lecteurs M.O.T.S. (juillet 2018).
Il a été sélectionné pour la 10e édition du Prix littéraire Complètement livres.
Pour suivre l'actualité du roman (critiques, rencontres...) : 11 ans (page facebook)
Onze ans nous plonge dans la conscience de Kévin, un enfant hypersensible à la lisière de l’adolescence qui est en quête de
sens. Il fait face à la douleur d'exister et remet en cause la nécessité de vivre dans ces conditions. Mais Onze ans est aussi le récit de la transformation possible d’un enfant en jeune
homme prêt à affronter la vie, malgré les blessures du passé.
Présentations publiques du roman : librairie Kléber ( Strasbourg), Salon du livre de Colmar, FNAC de Colmar, FNAC de Belfort, 31e Festival du premier roman
(Chambéry), librairie Totem (Schiltigheim), médiathèques de Vendenheim et d'Erstein (67), médiathèque de Messimy (69)...
A l'étranger : présentation du roman à l'Institut français de Iasi (Roumanie), en partenariat avec le FILIT (Festival International de
Littérature et de Traduction) ; participation au 17e Festival du livre de Mouscron (Belgique).
La presse et les libraires en parlent :
Coup de cœur de la librairie Brouillon de Culture, Martin Knosp
« Face à l'absurdité de la vie en société, la solution réside t-elle dans le suicide ? Un texte sobre et tout en retenue sur ce que peut représenter le passage à l'âge adulte
pour un enfant. »
Librairie Le
Divan (Paris 15) , Valérie Caffier
« Juste et touchant. Un très beau texte sur l'enfance, la souffrance, la difficulté de vivre. »
Librairie Bookstore (Biarritz), Aurélia Barrera
« Il a onze ans. Il veut mourir. A première vue cela nous effraie, à portée de main il a ce cahier. Onze ans, cet âge entre
l'enfance et l'adolescence. Pré adolescents... Prêt à tout ? Cet âge où l'on prend encore plus conscience du monde qui nous entoure. Il écrit. Et l'auteur de nous offrir un texte non
sans rappeler la force d'une petite barbare et d'une maladroite des
rentrées passées. Ne soyez pas effrayés. Ce petit texte ne l'est que par sa brièveté . Ne passez pas à côté de ce narrateur en herbe, que la détresse et la détermination rendent tendrement
mature. Il suffit parfois de décrocher une plume pour rester accroché à la vie. »
Librairie Le Gang de la Clef à Molette (Marmande), Anne Cuilhé
« Ce petit livre est un très beau texte. Il m’a beaucoup touchée, j’ai vraiment aimé ce moment passé en compagnie de Kévin, un petit bonhomme que j’ai maintenant dans la tête, à qui je pense avec
beaucoup de tendresse. La grande réussite de l’auteur, à mon avis, est d’avoir trouvé le ton juste pour raconter cette histoire. Il n’en fait jamais trop, sur un sujet difficile, il réussit à
garder la distance nécessaire pour donner de la crédibilité à son texte. »
Librairie Au Vent
des Mots (Lorient), Caroline Le Gal
« Pour son premier roman, Jean-Baptiste Aubert nous offre un livre poignant sur un sujet assez
grave : le suicide chez les adolescents. Sans misérabilisme, nous suivons page après page la douleur de Kévin, qui à 11 ans, veut mourir. Ce livre doit être lu avec délicatesse et pudeur
pour apprécier l’écriture si ciselée de l’auteur. Nous entrons par la petite porte en découvrant le journal de Kévin… et nous ne voulons pas croire qu’à 11 ans, un adolescent veuille mettre
fin à ses jours… Après la dernière ligne de ce livre, nous souffrons en silence de ce mal-être… Un récit nécessaire sur la douleur de vivre, la douleur de grandir, la peur du lendemain et de nos
destins. Le sens de la vie prend tout son sens en lisant 11 ans de Jean-Baptiste Aubert. »
Cultura (Chambray-les-Tours), David Goulois
« Lu en une soirée, plongé en apnée dans ce très beau récit âpre par moment, mais à la démarche
salutaire, sur un sujet peu abordé dans les médias. Sans misérabilisme, la voix du narrateur, celle d'un enfant chahuté par la vie et mal dans sa peau, nous délivre un discours touchant. Un texte
sobre et émouvant. »
Le blog de Yv, Yves Mabon
« L'écriture de Jean-Baptiste Aubert est fine, sensible,
délicate, de celles qu'on aime à lire, qui disent beaucoup simplement, sans artifice. Elle va au plus profond des êtres et de leurs questionnements. (...) Très beau texte, qui malgré son
thème pas gai ne sombre jamais dans le larmoyant et le noir (...) tout simplement beau et touchant. (...) Un roman fort que je vous conseille. Un coup de cœur pour moi, lu en quelques heures,
sans le lâcher. » L'article complet
ici
"Coup de coeur" à la
FNAC (Grenoble), Sandrine Dantard
« Je viens de finir 11 ans et waouh ! Ce livre m'a touchée dès les premiers mots de Kevin. Il prend aux tripes et ne nous lâche plus. Cette envie d'en
finir, oui, mais finalement il a toujours quelque chose à écrire dans son cahier. Il est tellement touchant et attachant. C'est un très beau livre, dur car il traite de sujets lourds, mais
empli de tellement de grâce et d'espoir. Un grand bravo à l'auteur. »
"Kévin est bouleversant de sincérité.Ce livre parle d'un sujet difficile mais
avec beaucoup de grâce et d'espoir. On a envie de pleurer et de sourire. A lire absolument."
Culture-Chronique.com, Appoline Segran
« 11 ans est une belle réussite littéraire écrite dans l’écume même de l’enfance. On reste longtemps
suspendu à la dernière ligne de cette œuvre déstabilisante dans sa simplicité, émujus qu’aux larmes… » L'article complet ici
Stalker,
Gregory Mion
« Le premier roman de Jean-Baptiste Aubert, 11 ans, est peut-être moins un livre sur la possibilité du suicide à un âge précoce que la présentation épurée de toute enfance qui
s’apprête à chavirer avec dépit et suspicion dans les eaux plus troublées de l’adolescence. On pourrait aussi considérer qu’il s’agit d’un livre qui raconte un ajournement plus fondamental
encore, à savoir la volonté de repousser le moment où il faudra bien appartenir à la communauté des individus responsables, le moment où il faudra participer, quoi qu’on en ait, à la
«bizarrerie» du monde (cf. p. 9). L’histoire de cette méfiance somme toute rassurante envers le monde fossile et discipliné des grands nous est rapportée par le petit Kévin, onze ans d’âge,
sous la forme d’extraits fulgurants écrits dans plusieurs cahiers où le garçon a couché les états tourmentés de son âme. » L'article complet ici
David Goulois,
libraire, émission TV "Tout sur un plateau" (à partir de 9'50), TV Tours
Impressions Strasbourg - recueil collectif - 2017
Pandémonium, suivi de Gisant (poésie) - 2014